Abstract:
I first encountered the engineer’s “feel” for a problem as an undergraduate. As a graduate student, however, I committed myself to the emerging discipline
of
computer-aided design and optimization, then widely considered by engineers as contrary to both respectable mathematical theory and sound engineering practice. Here, highlighting key influences shaping my theme—the engineer’s mysterious “feel”—my article unfolds semi-biographically, noting my excursions into entrepreneurship and industry, culminating in my discovery of “space mapping.” I recall initial reactions by mathematicians and engineers. I outline space mapping—now in its 20th year—its evolution, analogies from everyday life, parallels from the neuroscience literature, and its impact on engineering modeling and optimization. Exploiting suitable models or surrogates, space mapping facilitates optimal engineering designs with high-fidelity or “fine-model” simulation accuracy but with “coarse-model” simulation speed. I believe not only that space mapping represents common sense but that its mathematics provides a quantitative explanation for the engineer’s mysterious “feel” or intuition for solving an engineering design problem.
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Sommaire:
La
toute première fois que j’ai sentie le <<pressentiment>>
ingénieur d’un problème fut lors de mon baccalauréat. En tant
qu’étudiant au bac, je m’étais engagé dans la discipline de design
et d’optimisation informatique qui était, durant cette période, communément
considérée contraire à une pratique respectable à la fois de la théorie
mathématique et de l’application d’ingénierie. Dans cet article,
l’emphase sera portée sur les influences majeures entourant le thème
du <<pressentiment>> mystérieux un ingénieur d’ un problème
d’un point de vue biographique, racontant mes excursions dans le monde
de l’entreprenariat et de l’industrie en terminant par ma découverte
de la cartographie spatiale. Je me souviens encore de la réaction des
mathématiciens et des ingénieurs concernant ma découverte. J’ai développé
la cartographie spatiale (utilisée depuis maintenant vingt ans), son évolution,
ses applications dans la vie de tous les jours, ses applications en parallèle
aux neurosciences et son impact sur la modélisation et l’optimisation
en ingénierie. L’exploitation de modèles ou de substitut à la
cartographie spatiale facilite un design ingénieux et optimal incluant
une simulation fine, et à haute fidélité de la précision, mais une
simulation rustique de la vitesse. À mon avis, la cartographie spatiale
est non seulement une représentation du bon sens même, mais sa
contribution mathématique apporte une explication quantitative au fameux
<<pressentiment>> ingénieur qui permet la résolution de
problème de design d’ingénierie.
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